Il s’agit d’apports de connaissances qui interrogent la dynamique des interactions tardives depuis les enjeux de la décision, médicale, clinique jusqu’à la place de l’environnement familial et professionnel. Les situations de crise sont définies à la fois sur le plan théorique (crise développementale et conjoncturelle) et méthodologiques (crise, vécu de rupture et dépassement de la crise) prenant appui sur les situations de la pratique clinique concernant la prévention du suicide et les situations de maltraitance en particulier. La crise met l’accent sur la « flèche du temps » et la maladie d’Alzheimer est également abordée comme pathologie du lien, de la temporalité et comme paradigme de « la dépendance psychique ». Sont aussi traitées les questions de la maladie comme perturbation psychique avec la question des mécanismes de défense dont la résilience et également avec la question sous-jacente de l’impact de l’histoire de vie individuelle et familiale sur l’évolution de la maladie. La question de la toxicomanie est reprise sous l’angle des conduites addictives mettant en exergue les souffrances identitaires et les traits de personnalité et de vulnérabilité. La question de la fin de vie est considérée sous l’angle du rôle du psychologue dans la sphère des soins palliatifs.
Un travail personnel devra être fourni par l’étudiant(e).
